Truffe Qui Pele Chien : Six Superbes Recommandations
Carey
2024.10.14 12:19
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Il paraît du reste qu'Eustache fut bien accueilli, qu'il devint sujet fidèle des Anglais et fut comblé de faveurs par Édouard. Il vécut dans la retraite et se lia étroitement avec J. J. Rousseau (1772), dont il adopta les doctrines, et qu'il tâcha d'imiter dans ses écrits. Rousseau. Sa Correspondance a paru en 1826, 4 vol. 12, 1738-41. J. J. Rousseau en a donné des extraits. SAINT-POIS, ch.-l. de c. (Manche), à 14k. N. O. de Mortain; 840 hab. O. de Vienne; 5000 hab. 24 kil. N. O. de Morlaix, près de l'Océan; 6804 hab. SAINT-PIERRE-SUR-DIVES, ch.-l. de c. (Calvados), à 25 kil. SAINT-PIERREVILLE, ch.-l. de c. (Ardèche), à 23 kil. MONTHUREUX, ch.-l. de cant. Entre les deux villages, un petit plateau porte une maison blanche : c’est un lieu de pèlerinage, l’ermitage de saint Ilère, truffes surgelées évêque de Mende, qui, au viie siècle, consacra sainte Énimie. Petit port, beau clocher. St-Pol fut érigé dès 918 en un comté qui appartint successivement aux comtes de Boulogne, aux comtes de Ponthieu, à une branche de la maison de Luxembourg (1360), et aux Bourbon-Vendôme (1487). Cette place fut prise en 1537 par les Français, puis par les Impériaux, et cédée à la France en 1659, par le traité des Pyrénées
Je joins encore ici, Sire, la description de six tableaux qui m'ont été proposés, et qui sont des chefs-d'œuvre dans leur genre; si V. M. pensait qu'ils pussent lui plaire, je les ferais voir à M. le baron de Knyphausen, qui pourrait s'ajuster sur le prix avec le propriétaire, qui jusque-là ne veut pas être connu. Et je tombai dans leur nasse, et les promesses faites spontanément par ces messieurs n’ont pas été mieux tenues que tant d’autres, et depuis ce moment il n’en a plus été question. Seuls deux d’entre eux portaient des gilets de sauvetage au moment du naufrage. On convient assez universellement que V. M. a fait ce que ses intérêts exigeaient sans doute pour le moment présent, en maintenant en Allemagne une tranquillité qui peut si bien servir à celle de l'Europe, au moins pour la guerre de terre. Si le projet que l'on propose avait votre agrément, Sire, je mettrais les intéressés ici vis-à-vis du ministre de V. M. pour discuter leurs intérêts et ceux de ses sujets. C'est dans le fort de ces mouvements, et pénétré des conséquences que j'en voyais tirer par les personnes même les plus attachées ici aux intérêts de V. M., que j'osai lui écrire le 6 du mois dernier, à mon retour de Versailles; mais, comme je sentais bien qu'il pouvait ne pas me convenir de mettre de pareils objets sous les yeux de V. M., j'envoyai à M. le baron de Knyphausen mes deux lettres marquées différemment, Fraîche Tuber Brumale en lui observant ce que j'osais mander à V. M. sur la circonstance présente, et que, quelque risque que je pusse courir vis-à-vis d'elle en prenant cette liberté, mon zèle m'y faisait livrer, s'il pensait qu'il fût essentiel aux intérêts communs que V. M. fût informée, même par d'autres que par lui, des impressions de notre cour dans ce moment-là
Cependant Diane n’avait pas perdu sa présence d’esprit : à peine seule, elle s’élance vers la fenêtre de sa chambre élevée à vingt pieds du sol ; elle allait se précipiter lorsque Perrette arrive ; il veut la retenir par sa robe, elle résiste, laisse un lambeau de son vêtement entre les mains du prêtre, et par une sorte de miracle elle ne se blesse point dans sa chute et retombe sur ses pieds. À peine s’est-on éloigné que, rugissant comme un tigre, il se précipite sur la marquise, truffes surgelées il lui plonge cinq fois son épée dans le corps et lui en laisse le tronçon dans l’épaule. Elle prend d’une main tremblante le verre de poison et le porte à ses lèvres, tandis que l’abbé appuie sur sa poitrine le canon de son pistolet, et que le chevalier lui présente la pointe de son épée. Diane mouille sa longue chevelure, en plonge les tresses dans son gosier, et provoque un vomissement qui la délivre d’une partie du poison. L’abbé la détrompe en prononçant ces mots d’une voix terrible : - Madame, il faut mourir : choisissez, le feu, le fer ou le poison
Il est également possible de rajouter des poivrons ou du piment, des canneberges séchées et des oignons. En un mot, ou écrivez gravement, et mettez plus d'étoffe dans votre ouvrage, ou tenez-vous-en aux anecdotes, que vous ornerez par votre style, qui est badin et enjoué. Le grand art en amour, c’est de savoir prendre l’occasion aux cheveux. C’est l’écho de l’inspiration créatrice ! C’est mon canif que je cherche. Si V. M. daigne se ressouvenir combien elle permettait à mon zèle de lui parler quelquefois sur cet objet, que je lui ai toujours vu trop négliger, elle me pardonnera d'oser lui montrer encore mon inquiétude truffes et nos champignons séchés mes terreurs. J'ai reconnu avec grand plaisir, par votre lettre du 2 de ce mois, les sentiments de zèle et d'attachement que vous m'avez témoignés, et l'empressement que vous conservez à m'en donner des marques convaincantes. L’idée qu’un homme seul pût hésiter à se soumettre au joug imposé par une centaine, était quelque chose de si nouveau, de si inconcevable pour des gens accoutumés à considérer la majorité comme la seule expression du vrai, qu’ils ne savaient comment se rendre compte de tant de hardiesse
Je joins encore ici, Sire, la description de six tableaux qui m'ont été proposés, et qui sont des chefs-d'œuvre dans leur genre; si V. M. pensait qu'ils pussent lui plaire, je les ferais voir à M. le baron de Knyphausen, qui pourrait s'ajuster sur le prix avec le propriétaire, qui jusque-là ne veut pas être connu. Et je tombai dans leur nasse, et les promesses faites spontanément par ces messieurs n’ont pas été mieux tenues que tant d’autres, et depuis ce moment il n’en a plus été question. Seuls deux d’entre eux portaient des gilets de sauvetage au moment du naufrage. On convient assez universellement que V. M. a fait ce que ses intérêts exigeaient sans doute pour le moment présent, en maintenant en Allemagne une tranquillité qui peut si bien servir à celle de l'Europe, au moins pour la guerre de terre. Si le projet que l'on propose avait votre agrément, Sire, je mettrais les intéressés ici vis-à-vis du ministre de V. M. pour discuter leurs intérêts et ceux de ses sujets. C'est dans le fort de ces mouvements, et pénétré des conséquences que j'en voyais tirer par les personnes même les plus attachées ici aux intérêts de V. M., que j'osai lui écrire le 6 du mois dernier, à mon retour de Versailles; mais, comme je sentais bien qu'il pouvait ne pas me convenir de mettre de pareils objets sous les yeux de V. M., j'envoyai à M. le baron de Knyphausen mes deux lettres marquées différemment, Fraîche Tuber Brumale en lui observant ce que j'osais mander à V. M. sur la circonstance présente, et que, quelque risque que je pusse courir vis-à-vis d'elle en prenant cette liberté, mon zèle m'y faisait livrer, s'il pensait qu'il fût essentiel aux intérêts communs que V. M. fût informée, même par d'autres que par lui, des impressions de notre cour dans ce moment-là
Cependant Diane n’avait pas perdu sa présence d’esprit : à peine seule, elle s’élance vers la fenêtre de sa chambre élevée à vingt pieds du sol ; elle allait se précipiter lorsque Perrette arrive ; il veut la retenir par sa robe, elle résiste, laisse un lambeau de son vêtement entre les mains du prêtre, et par une sorte de miracle elle ne se blesse point dans sa chute et retombe sur ses pieds. À peine s’est-on éloigné que, rugissant comme un tigre, il se précipite sur la marquise, truffes surgelées il lui plonge cinq fois son épée dans le corps et lui en laisse le tronçon dans l’épaule. Elle prend d’une main tremblante le verre de poison et le porte à ses lèvres, tandis que l’abbé appuie sur sa poitrine le canon de son pistolet, et que le chevalier lui présente la pointe de son épée. Diane mouille sa longue chevelure, en plonge les tresses dans son gosier, et provoque un vomissement qui la délivre d’une partie du poison. L’abbé la détrompe en prononçant ces mots d’une voix terrible : - Madame, il faut mourir : choisissez, le feu, le fer ou le poison
Il est également possible de rajouter des poivrons ou du piment, des canneberges séchées et des oignons. En un mot, ou écrivez gravement, et mettez plus d'étoffe dans votre ouvrage, ou tenez-vous-en aux anecdotes, que vous ornerez par votre style, qui est badin et enjoué. Le grand art en amour, c’est de savoir prendre l’occasion aux cheveux. C’est l’écho de l’inspiration créatrice ! C’est mon canif que je cherche. Si V. M. daigne se ressouvenir combien elle permettait à mon zèle de lui parler quelquefois sur cet objet, que je lui ai toujours vu trop négliger, elle me pardonnera d'oser lui montrer encore mon inquiétude truffes et nos champignons séchés mes terreurs. J'ai reconnu avec grand plaisir, par votre lettre du 2 de ce mois, les sentiments de zèle et d'attachement que vous m'avez témoignés, et l'empressement que vous conservez à m'en donner des marques convaincantes. L’idée qu’un homme seul pût hésiter à se soumettre au joug imposé par une centaine, était quelque chose de si nouveau, de si inconcevable pour des gens accoutumés à considérer la majorité comme la seule expression du vrai, qu’ils ne savaient comment se rendre compte de tant de hardiesse
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